PetitChat

[PetitChat]

Bonjour.

Je suis arrivée sur ce forum après une recherche. Je suis désespérée et je suis à la recherche d’un certain soutien avec des gens qui ont vécue des problèmes similaire au mien.

Tout d’abord, j’ai 28 ans, je suis une femme.
Du plus loin que je me souvienne, j’ai commencé a avoir mal au dos « la barre en bas du dos » depuis le collège/lycée.
J’ai pratiquée pendant des années de la gym, et quelques années d’équitation. (Est-ce que cela a déclenché quelque chose ?…)


J’ai débutée ma vie pro très jeune par des stage au sein de maison de retraite. Mais le calvaire a débuté réellement vers mes 21/22 ans. J’ai commencée a avoir de plus en plus mal au boulot, jusqu’à mon premier blocage de dos, après avoir fait du vélo.
Mon médecin de l’époque m’a dis que c’était musculaire. C’est évident pour elle, je suis jeune… Un petit arrêt d’une semaine ou deux et c’était reparti.
Plus les mois avancés, plus j’avais mal. Je finissais mes journées de travail courbée, je n’arrivais plus a marcher droite. Mais je continuais, c’était « musculaire » après tout.
Force de constaté que mon état empiré de mois en mois, et après avoir changé de médecin entre temps, on me prescrit un scanner.
Le verdict tombe, discopathie dégénérative et hernies discales L3/L4/L5. J’avais 24 ans.
Arrêt de travail oblige, s’en suit une sorte d’errance médicale. On me dis que cela va se résorber, on me traite à coup de cortisone, anti inflammatoire et morphinique pendant 6 mois.
Rien ne s’arrange, j’accepte une hospitalisation en rhumatologie, mais cela ne se passe pas bien. Je déprime seule dans une chambre double, avec une dame âgée qui a comme seule passe-temps, de critiquer tous mes faits et gestes de la journée, me dis que je ronfle la nuit, commente mes repas… J’avais pas besoin de ça à ce moment là. Je pleure chaque jour et l’équipe soignante n’est absolument pas attentive à ma détresse. Je décide de mettre un terme à cet enfer. Je sors au bout d’une semaine au lieu des trois prévues.
J’avais pris énormement de poids, mon travail me manquait.
Je décide de tenter une reprise de mon travail, deux mois.
Mais c’est de pire en pire, sciatique, douleurs lombaire etc…
Je trouve un chirurgien orthopédique qui me propose la pose d’une arthrodèse dynamique « dynesis ». J’accepte, je suis désespérée, j’aurais tout pris pour que mon calvaire s’achève.

L’opération se déroule bien, j’ai pu reprendre mon travail 3 mois après l’opération.
J’ai rdv avec la direction de mon travail, j’ai du promettre que je ne me remettrais plus en arrêt maladie, que j’allais mieux pour devenir titulaire de mon poste (oui c’est dingue). J’ai tenue ma promesse, cela faisait 6 mois que je travaillais comme tout le monde, sans me plaindre.
Le jour où je devais enfin devenir stagiaire de ma fonction, je rencontre un médecin agréer qui ne me connait pas, qui lis mon dossier médicale et me rétorque qu’il ne parirais pas sur mon avenir, et que de ce fait il allait « réfléchir » s’il me déclare apte à mon poste ou pas.
Je pars 3 semaines en vacance, et sans nouvelle de ce médecin, j’appelle ma supérieur qui est au courant de rien non plus.
De là, j’appelle sa secretaire qui me balance à la figure que ce docteur m’a déclarée inapte à mes fonctions le jour même de ce fameux rendez-vous.
Le choc. Il n’a pas eu la décence de me le dire, j’ai perdue mon boulot. 6 ans de CDD, mis à la porte comme ça.
Je sais que vous allez me dire « pourquoi n’a tu rien fais à ce moment là ? ». Eh bien… j’étais très mal, j’avais 25 ans, je ne connaissais pas mes droits, les syndicats me promettais de m’aider mais ils n’ont rien fait pour ma cause.
J’ai été en dépression pendant 1 an. J’ai subis 1 an de chômage, et j’ai décidée de prendre un poste ailleurs, dans le privé.
Puis j’ai finalement reussie a retrouvé un poste similaire ailleurs, je n’ai jamais eu de documents officiel qui marque noir sur blanc que je suis inapte. Tout n’a été que mensonge. J’ai subis ce licenciement, j’ai payée pour beaucoup qui se mettent en arrêt pour un rien. J’étais jeune et motivée, mais j’ai payée pour le monde. J’étais en colère, déprimée mais je me suis battue.
J’ai enfin touchée mon but, j’ai réussie a retrouver ma vie. Jusqu’à ce jour.
Mes douleurs sont revenues, de plus en plus forte. La sciatique est revenue aussi. J’ai une peur bleu de m’arrêter de travailler, j’ai peur encore de perdre mon poste, celui que j’ai bataillé pour l’avoir, j’ai fais tant d’effort.
J’ai rencontrée une neurochirurgienne qui m’a fait passer un IRM.
Une vis s’est déplacé dans le foramen et touche le nerf L5. Le calvaire recommence. Je suis terrifiée.
J’ai peur de l’avenir, qu’est ce que je vais devenir ? Je suis encore jeune.

Alors, après avoir lu mon histoire si vous avez eu le courage de me lire jusqu’ici, avez vous des histoires similaire à mon cas ? Êtes-vous repasser sur la table d’opération ? Est-ce que votre vie s’est améliorer ? J’ai l’impression de replonger dans mon calvaire, mais si je continue de bosser, pour ne pas tout perdre, j’ai peur que mon état empire. Que feriez-vous ?

Merci à ceux ou celles qui prendrons le temps de me répondre.

Nb: j’ai bénéficiée de la RQTH, que je n’ai pas renouvellée car valable 2 ans, je pensais être tirée d’affaire… Aujourd’hui, je ne l’ai plus, il faudrait refaire tout le dossier, mais je veux juste vivre de mon métier passion…

[Mika91]

Bonjour Petitchat et bienvenue ici !
Ma pauvre Je viens de lire ton parcours et je comprends bien ta détresse. Ton témoignage est similaire à tant d'autres et je compatis à ce que tu vis depuis plusieurs années.
En effet, comme tu dis, tu es jeune et à ton âge il est légitime de se poser plein de questions. Je t'avoue que je m'en posais plein aussi (les mêmes que toi et que plein d'autres). D'ailleurs, alors que j'ai 20 ans de plus que toi, même aujourd'hui je m'en pose encore pas mal (moins... mais quand même).
Il y a plusieurs inconnues et incertitudes et c'est ce qui nourrit notre inquiétude et comme on sait que l'anxiété et le stress génèrent plus de douleurs... Eh bien ce n'est pas évident à vivre.
Pour ma part, la fameuse douleur en barre dans les lombaires était bien supportable avant 2019 mais s'est rapidement amplifiée au fil du temps jusqu'à ce que je sois complètement bloqué un 23 août 2021. Je t'invite à lire mon parcours si tu veux en savoir plus
Je paye cher mes 20 années de port de charges lourdes et des gros travaux en parallèle dans mon ancienne maison avec 1500 m2 de terrain.
Je savais que j'avais juste une petite discopathie L4/L5 vers mes 20 ans mais jamais douloureuse.
Comme quoi, d'un coup ça peut vite se dégrader et généralement ça évolue plutôt dans le mauvais sens que dans le bon (enfin c'est ce que j'ai appris).
La gym et l'équitation ne sont pas les sports les plus adaptés à tes soucis. As-tu fait une ou plusieurs chute de cheval ? Mon ex compagne fait également de l'équitation et m'a fait 2 grosses frayeurs en tombant lors de concours de saut d'obstacles.
Ton premier blocage de dos était déjà un signal d'alarme qu'il aurait fallu écouter et ne pas prendre à la légère mais plus facile à dire qu'à faire. Bon nombre d'entre nous se disent que c'est rien et que ça va passer mais pendant ce temps là ça s'aggrave sans que l'on s'en aperçoive. La dégradation se fait souvent sans bruit et c'est bien le problème.
L'erreur de ton médecin de l'époque est de t'avoir dit que c'était musculaire sans le vérifier par des examens. C'est peut-être là le tournant de ta vie ou pas. Va savoir...
Tu as eu combien d'infiltration et en combien de temps ?

Je suis désolé de savoir que ta prise en charge a été déplorable et surtout pas à la hauteur de ce que tu avais besoin
Pas étonnant que "désespoir, désarroi, détresse et déprime" montrent le bout de leur nez.
Concernant ton premier boulot, ce que tu as vécu est scandaleux. Je suis choqué du comportement de ta direction et ce fameux médecin agréé a été totalement irresponsable. Encore un incompétent
Ce n'était pas comme ça qu'il fallait qu'il agisse. Ces méthodes douteuses me révoltent. Dans la situation où nous nous trouvons, nous sommes facilement vulnérables et on nous met devant le fait accompli sans qu'on puisse avoir assez de recul pour répondre ce qu'il faut. Je trouve ça inadmissible. Ils ne se mettent pas à notre place et se fichent de nous. C'est à cause de ces agissements (par derrière) que l'on s'enterre un peu plus au lieu de remonter la pente. C'est là qu'on doit se prouver à soi même qu'on est plus fort qu'eux mais ce n'est pas si simple je te l'accorde.
Merci les syndicats, en passant
Avoir finalement retrouvé un poste ailleurs, c'est tout à ton honneur surtout dans cette période très compliquée pour toi C'est une façon de dire à ton ancien employeur et ce médecin douteux que tu ne te laisses pas abattre et tu te bats pour avancer
Tu peux être fière de ça
Maintenant ton état de santé actuel n'est pas des plus rassurants. Je serais toi j'expliquerai tout à ton employeur du moment avec preuves sur table. Ils ne sont pas tous à mettre dans le même panier. Il y en a qui sont à l'écoute et qui comprennent... heureusement. Il est grand temps que tu sortes vraiment de cette galere. C'est ta santé qui prime avant tout. Il ne faut pas prendre ça à la légère sinon effectivement cela pourrait empirer d'autant plus qu'une vis s’est déplacée dans le foramen et touche le nerf en L5
A ton âge, ça serait bien dommage que ça s'aggrave davantage.
Tu l'as revu la neurochirurgienne ? Et si oui, qu'est-ce qu'elle t'a dit ?

Tout ce que je peux faire c'est de te soutenir au mieux et t'apporter des réponses, des conseils par rapport à mon expérience.
En attendant, plein de courage à toi et bonne fin de journée.

[PetitChat]

Merci pour la réponse rapide.
J’ai sauté pas mal de chapitre dans mon récit, sinon c’était interminable.
J’ai un travail physique, je le sais. Mais je suis têtue alors j’ai persisté dans ma voie. En faite, comme je n’ai pas choisie mon destin, j’ai voulu à tout prix retrouver ce que j’avais perdue. C’était un tel sentiment d’echec dans ma vie, que je ne l’ai pas supporté. Alors j’ai mis de côté mes douleurs. Je préfére souffrir que de revivre une perte d’emploi.
Cela fait bientôt deux ans que j’ai repris le travail. Les symptômes (en 1er temps de forte cruralgies) ont débutés peu de temps après. J’ai la sensation qu’on m’étire le devant des cuisses. C’est infernale.
J’ai changé 3 fois de lieu d’exercice dans ma profession, et sur mon poste actuel, même en faisant attention, j’ai le port de charge lourde et tout ce qui est déconseillée.

J’ai consulté mon rhumato, mon médecin traitant. Ils ne veulent plus me donner d’antalgique + puissant que l’izalgi ou doliprane codéiné. Selon eux (et c’est vrai je le reconnais) je me dope pour continuer à travailler.

J’avais fait quelques radios et un scanner mais ils n’avaient pas vu ma vis mal placée.

Au bout de plusieurs consultation, un electromyogramme qui démontre une perte de force sur ma jambe droite, c’est tout récemment que j’ai pu avoir un courrier pour avoir ce rdv neurochir.

La neurochir a directement vu le problème. Elle suspectait que la vis soit déplacée ou que le canal lombaire sténosé.

Je viens d’avoir les résultats de l’irm vendredi. Je ne sais pas quand la neurochirurgienne va avoir le temps de regarder mes résultats…

En attendant je souffre, tous les médecins me refusent la morphine. J’ai repris rdv avec mon rhumato, pour lui montrer mon IRM et qu’ils acceptent peut être de me soulager le temps que la chirurgienne revienne vers moi.

J’ai déjà pris du laroxyl et du cymbalta qui m’ont calmée les douleurs aux cuisses, mais je subissais des effets indésirable handicapant (sueurs du visage/crâne+++++). Impossible de poursuivre le traitement, le regard des gens sur moi… On me croirait drogué…

À ce premier rdv, la chirurgienne me proposait des infiltrations et une ré opération. Soit changer la vis et en mettre une plus grosse (car l’os est creusé autour apparament), soit de me poser une arthrodèse fixe.


Dans l’attente qu’elle me recontacte, je reste démunie. J’avais par le passé, fait des infiltrations avant la chirurgie sans résultat…

Je me sens « seule » dans ma galère, avec des médecins qui prennent des pincettes car je suis jeune. Merci d’avoir pris le temps de me lire et de me répondre, ça fait du bien.
J’ai peur d’insister, qu’ils me pensent peut être folle ou droguée en insistant pour des antalgique, mais c’est invivable….

[Maedia2]

Bonjour, je dirais juste que le médecin a bien fait de vous déclarer inapte. Ce n'est pas une punition mais la réalité. J'ai 40 ans j'ai commencé à avoir mal à 16 ans quand j'ai commencé à travailler en tant que vendeuse en boulangerie. Port de charge, station debout. Travail à mon sens facile, tranquille et sans stress. J'ai fait arrêt sur arrêt avec médicaments à gogo. On m'a toujours dit un jour faudra vous opérer mais là vous êtes trop jeune.

Je me suis mise à mon compte. Je pouvais m'asseoir entre chaque client. Sauf que je faisais 80h semaine...

Au final, je me suis ruiné le dos. Je suis retournée salarié 7 ans après. 35h sans pouvoir m'asseoir c'était pire. On m'a mise sous tramadol. Le rêve ça m'a enlevé la douleur. J'ai donc continué pendant 2 ans et un paf je ne pouvais plus du tout bosser. Opération. Premier chirurgien voulait encore éviter l'arthrodèse. M'a juste libéré les canaux et à fait une laminectomie pour rééquilibrer la colonne. 6 mois après je ne pouvais plus marcher il a aggravé la situation. Lui niait tout en bloc. Second chirurgien opéré arthrodèse. Depuis je revis. Deux ans d'arrêt pour le tout. J'ai repris mon poste. Nouveaux patrons. Des cons aucune sympathie. J'ai tenu deux ans en forçant. Résultat retour second chirurgien qui me dit faut arrêter les bêtises. Gros oedème au niveau du nerf. Changez de métier y'a plus rien à faire.

Visite médecine du travail à ma demande. Inapte. Procédure de licenciement. J'ai postulé en tant qu'assistante administrative et commerciale au pif dans une boîte. J'ai été prise et whaou je revis. Je n'ai quasiment plus aucune douleurs. Je bosse dans une boîte bienveillante avec une super ambiance. On me parle déjà de promotion au bout de deux mois. Franchement aucun regret alors que quand j'ai fait ma procédure de licenciement pour inaptitude j'étais au bout de ma vie. Je n'avais fait qu'un métier depuis mes 16 ans. Je ne me voyais pas reprendre des études. Déprimée sévère. Je me suis sous estimée. Bonne pour la poubelle à 40 ans. Incapable de rien.

En fait non je remercie mes anciens patrons d'avoir été des cons. Je donnais le meilleur de moi même pour des idiots qui ont galéré à me remplacer. Bref revoyez vos positions. Acceptez votre handicap. Vous avez d'ailleurs repris bien trop tôt. Vous êtes jeune, pensez à votre avenir. Il va falloir tenir jusqu'à 62 ans...

Ps inapte dans une entreprise ne veut pas dire inapte dans une autre entreprise pour le même poste... Mais fortement déconseillé...

[Mika91]

A force, ton corps va finir par lâcher d'un coup et tu regretteras de ne pas t'être arrêtée à temps.
J'ai fait la même erreur que toi donc je suis bien placé pour te conseiller de te concentrer pleinement à ton état de santé pendant qu'il en est encore temps.
Mettre de côté ses souffrances pour continuer de travailler, c'est courageux mais c'est une grosse erreur.
Un conseil : N'insiste plus dans le boulot, du moins dans le port de charges lourdes. En attendant de revoir la neurochirurgienne, ménage-toi sinon ça va vite se dégrader.
Alors le Laroxyl, j'en ai pris et franchement j'en ai un très mauvais souvenir. A part me faire grossir, être par moments somnolent et avoir la sensation d'être en état d'ébriété le matin, c'est tout ce que ça a fait. C'est déjà pas mal, n'est-ce pas ? Quoique tu prennes comme médocs, ça ne répare pas les dégâts. Ça les soulage seulement et encore... et en plus tu as des effets indésirables en prime
J'entends ton cri de désespoir et désormais il ne faut plus que tu te sentes seule à partir du moment où tu connais désormais ce forum
Ici, tu peux trouver beaucoup de conseils, d'avis, de soutien, de réconfort, etc...
Ce forum est une mine d'or d'informations qui peuvent t'aider.
Au passage, merci Maedia pour ton nouveau témoignage. Il y a des choses que je ne savais pas. Ça permet de savoir que tu te sens beaucoup mieux maintenant dans ton nouveau boulot. Ravi de le savoir C'est chouette Tu as tellement galéré auparavant.
Ta nouvelle expérience peut effectivement faire revoir nos positions. Tu es un exemple de réussite. Le licenciement pour inaptitude me pend au nez et ce que tu évoques peut faire réfléchir. En tous cas, ça donne des idées. A méditer
Petitchat, je t'invite à bien prendre en compte ce que Maedia dit. C'est très intéressant. Elle est toujours de bon conseil. Prends aussi le temps de te balader sur le forum et si tu as besoin d'aide, n'hésite pas
Bonne soirée et à bientôt.

[PetitChat]

Merci pour vos réponses.
Je pense que vous m'avez fait prendre conscience de certaine chose.
Je reviens juste sur l'inaptitude dans mon histoire. J'étais censée être inapte au sein de la fonction publique. Et en théorie, lorsque les choses sont réellement faite, mon nouvel employeur aurait dû savoir car un dossier est fait. Et comme j'ai pu intégrer un même poste ailleurs, c'est ainsi que j'ai su qu'il y a eu mensonge. J'ai juste plus la foi de me battre judiciairement, mon licenciement date d'il y a bientôt 3 ans...

En vous lisant, je prend conscience que j'en ai trop fait. Je n'accepte pas ma situation. C'est vrai que ton message Maedia me redonne espoir. A l'époque de mon chômage, je n'arrivais pas à me projeter dans autre chose que mon métier actuel, car je l'aimais et que j'avais la sensation qu'on me l'avais arraché de force. Aujourd'hui, et en vous lisant c'est différent.
Si comme vous le dites si bien, j'arrive à un point de non retour, avec des conséquences encore plus grave, je serais coincée et pour de bon. J'avais fais un bilan de compétence, mais aux résultats peu glorieux qui m'avais profondément humiliée dans mes capacités.

Je vais m'atteler à lire les témoignages de vous tous. Je pense que vous m'avez fait prendre conscience qu'il y a espoir pour refaire autre chose de ma vie. En me soignant correctement avant toute chose. Merci profondement.

[Mika91]

A vrai dire, moi non plus je ne me vois pas changer de métier et pourtant s'il le faut pour préserver ma santé je le ferai. Il y a fort heureusement plusieurs possibilités qui se présentent à nous, et en effet, de l'espoir pour trouver un métier à notre convenance, il y en a forcément

Si tu le souhaites, tu peux créer un nouveau sujet dans "après l'opération" afin de faire part de l'évolution de ton état de santé, de ce qui est préconisé par ta chirurgienne, de la réaction de ton employeur actuel lorsque tu l'auras prévenu de ta situation, etc...

Garde le moral et prends enfin le temps de bien t'occuper de ta santé. L'idéal serait d'avoir un 2ème avis sur ce qui pourrait être envisagé pour faire disparaître tes souffrances.

N'hésite pas à donner de tes nouvelles...
A bientôt !

[Altea91]

Salut !

Il y a une personne ici a qui on a du retirer le matériel car une vis touchait les nerfs. Depuis plus de douleur !
C'est Isa50. Depuis elle a des problèmes d'ordre génétique mais plus de nouvelles depuis 2019.

C'est chiant mais s'il faut une deuxième opération, il faudra bien une deuxième opération.
Altea91, Administrateur et créateur du Forum.

[ferasce]

Je suis vraiment désolé d'entendre tout ce que tu as traversé et traverses encore. C'est une histoire difficile et pleine de défis. Il est compréhensible que tu aies des inquiétudes concernant l'avenir et ta santé.
https://abacadabacadaba.com